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Nuit Blanche 2024: Arpillera «Ne m'oubliez pas»
Atelier avec Sarabeth Triviño
INFORMATIONS

Atelier de toile composite

Samedi 2 mars, 2024

de 17h30 à 20h30.

L’exposition en galerie serra ouverte
au public jusqu’à minuit.

SBC galerie d’art contemporain

Pour plus d'informations envoyez-nous un courriel à rsvp@sbcgallery.ca

Pour la 21ème édition de la Nuit Blanche, le samedi 2 mars 2024, la SBC galerie d’art contemporain vous convie à participer à l’atelier Arpillera «Ne m'oubliez pas», dirigé par l’artiste chilienne Sarabeth Triviño. Cet événement s'inscrit dans le cadre d'une série d’ateliers organisée par la Colectiva, un groupe composé de cinq femmes chiliennes. Depuis neuf mois, elles mettent en place divers ateliers dans le but de rassembler la communauté de Montréal et d'ailleurs pour co-créer une grande arpillera intitulée «Ne m'oubliez pas», marquant ainsi le 50e anniversaire du coup d’État au Chili.

 

L’arpillera, une toilé composée de différents morceaux de tissus, est d’une importance significative dans la tradition textile chilienne. Pendant  la dictature militaire, les femmes se réunissaient pour dénoncer les violations des droits de l'homme en brodant et cousant ensemble ces morceaux de tissus.

 

Les ateliers d’arpillera par la Colectiva invitent les participants à créer collectivement de petits personnages en tissu, dans le style de l’arpillera chilienne, représentant les plus de 3000 victimes de la dictature militaire. Ce processus collectif vise à maintenir vivante la mémoire des disparus, des assassinés, des exilés, ainsi que de ceux qui ont dû partir, créant ainsi une absence qui ne sera jamais comblée à nouveau. Rejoignez-nous quelques heures lors de la Nuit Blanche pour ce travail collectif. Réservez votre place en nous écrivant à rsvp@sbcgallery.ca.

 

L’exposition en salle Histoire(s) de territoire(s), présentant le travail des artistes Jessica Houston et Laurence Butet-Roch, sera accessible au public au cours de la soirée.  Les deux artistes s'intéressent de près à la justice environnementale et à la construction des récits à travers le prisme de l’histoire coloniale et des violations de territoires. 

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